Anders Zorn

« Anders Leonard Zorn, né à Mora (Suède) le 18 février 1860 et mort à Stockholm le 22 août 1920, est un peintre, graveur et sculpteur suédois.
Son originalité se manifeste dans une œuvre marquée par la vie et les atmosphères. Il est connu pour ses peintures liées de la campagne suédoise, par ses portraits et par ses nus ainsi que par ses représentations de l’eau. Il est avec Carl Larsson* le peintre le plus populaire de Suède.
Un musée, abritant la collection Zorn, lui est consacré à Mora. » source

*Carl Larsson

Personnage pétri de contrastes et de paradoxes…

Voir les œuvres :
Isabella Stewart Garner Museum
Gothenburg Museum of Art
Google Cultural Institute
ou encore ici

La palette restreinte « dite de Zorn »

Rouge cadmium , ocre jaune ,noir d’ivoire, blanc : une interprétation plutôt qu’une franche réalité !

Mes travaux pratiques d’après un exercice proposé par Michael Lynn Adams sur son blog.

3 réflexions au sujet de « Anders Zorn »

  1. Coucou 🙂
    C’est drôle, j’étais en train de me renseigner ces jours-ci sur ces palettes limitées, et notamment celle de Zorn.
    James Gurney a fait un article à ce sujet, il y a quelques années.
    http://gurneyjourney.blogspot.fr/2008/01/limited-palettes.html
    Il parle d’ailleurs, en plusieurs endroits (blog et livres), d’harmonie colorée en rapport avec un choix de couleur restreint , en fonction de l’effet global qu’il veut obtenir, selon le sujet etc.
    Évidemment, il s’agit plus d’illustration que de peinture, mais j’aime beaucoup les exemples qu’il donne dans l’article, en particulier sur la contrainte de travailler avec seulement 2 couleurs (plus le blanc du papier), pour des histoires de coût d’impression.
    Le résultat est bluffant. La perception humaine des couleurs est tellement paradoxale, je trouve : on est plus heureux (satisfait visuellement) de voir 2 couleurs (plus le blanc) savamment employées qu’une gamme complète sur un tableau ou une illustration.

    1. Coucou Christelle,
      En effet, c’est incroyable le nombre de nuances très subtiles que l’on peut obtenir avec très peu de couleurs…L’œil est satisfait dans la mesure où il n’y a pas de « heurts », pas d’intrus 😀
      C’est une expérience très intéressante à faire d’une part,pour apprendre à doser les quantités, parfois infimes pour voir une différence et d’autre part, s’apercevoir qu’on peut tout-à-fait traiter un sujet entièrement avec peu de moyens 🙂
      Tu as essayé ?

      1. Oui c’est exactement ça : une grande variété de nuances, mais sans heurt 🙂
        Je ne l’ai pas encore fait, en dehors de quelques mélanges rapides à l’aquarelle, mais depuis que j’ai lu ces quelques articles, j’ai bien envie de tenter l’expérience. Je dois trouver l’occasion et le sujet 🙂

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