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Copier au musée

Quelques règles incontournables

« L’article 41 du décret n° 1255 du 11 mars 1957, qui régit la propriété littéraire et artistique prévoit que la copie d’œuvre originale dans les musées nationaux « doit être au minimum d’une taille supérieure ou inférieure de 1/5 de la hauteur et de la largeur de l’original. »
En dehors des musées, la copie d’une œuvre du domaine public peut être de dimension libre, y compris la taille native à condition qu’elle soit identifiée comme étant une copie de manière permanente et définitive par l’apposition d’une inscription indélébile au dos de la toile établissant qu’il s’agit d’une copie de l’œuvre originale, avec le nom de l’auteur et les références de l’œuvre.

Aujourd’hui la reproduction de la signature est rendue possible par l’arrêt de la Cour de Cassation de 1995 N°571 de novembre 1995, sous certaines conditions:   dès lors que le copiste du tableau d’un peintre célèbre a respecté les dispositions légales en vigueur l’autorisant à reproduire selon une technique picturale l’œuvre considérée pourvu que ses dimensions fussent sensiblement différentes, il n’y a aucune violation du droit moral dans la reproduction de la signature qui fait incontestablement partie de l’œuvre elle-même. Il en serait différemment si cette apposition de la signature entrait dans le cadre d’un plan frauduleux tendant à faire croire à l’acquéreur que l’œuvre est authentique. Dès lors que la mention faisant état de la copie figure d’une manière nette, sans équivoque ni dissimulation au verso du tableau, aucun reproche ne peut-être fait à l’auteur des mentions.
CA Paris (13e ch., B), 5 octobre 1995 – N°96-234.-M. Espie c/ société SEEAC. » source

Il y a parfois quelques modalités qui diffèrent dans l’organisation d’un musée à un autre, néanmoins les règles de la législation sont identiques pour tous.

L’estampille du musée au dos de la copie n’implique pas la bonne facture de celle-ci

 

Histoire de l’art

  Petit quizz pour s’amuser

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Peinture flamande, de Van Eyck à Rubens Till-Holger Borchert : les reproductions sont d’une qualité exceptionnelle !*

Vermeer. La fabrique de la gloire – Citadelles et Mazenod
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Regards sur l’art hollandais du XVIIe siècle
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La grammaire de l’ornement OwenJones *—> A consulter ici ou
Historic styles of ornement Recueil chronologique selon les époques Heinrich Dolmetsch
Le Trompe-l’oeil contemporain
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Daniel Arasse et les plaisirs de la peinture  Sara Longo

Cent énigmes de la peinture (Nouvelle édition) Gérard-Julien Salvy*

Lumière sur la Dame à l’hermine Pascal Cotte

Vie de Léonard de Vinci par Vasari Louis Frank Stefania Tullio Cataldo

 BRUEGEL Michel Weemans Reindert Falkenburg

L’œil  du copiste :   Un portrait de Pontormo Sigrid Avrillier
                                      Claude Lorrain, de l’Infiniment Grand a l’Infiniment petit Sigrid Avrillier
                                      Les grâces de Rubens Sigrid Avrillier

L’art de la copie*     Edwart Vignot

Une couleur ne vient jamais seule MICHEL PASTOUREAU
Les Couleurs expliquées en images (2015) Michel pastoureau  Dominique Simonnet
Bestiaires du Moyen Âge (2011) Michel Pastoureau
« Devenu vieux, le coq se met parfois à pondre des œufs. Si l’un d’eux est couvé par une bête venimeuse, tels le crapaud, l’aspic ou le dragon, il en sort une tête effroyable : le basilic. Sa tête, ses ailes et ses pattes sont celles d’un coq, mais son corps se termine en forme de serpent. Il peut tuer par son seul regard. Tous les animaux en ont peur sauf la belette qui s’attaque vaillamment à lui. » Bestiaire latin. Copenhague Det Kongelige Bibliotek MS.Gl.Kgl.S.1633 4°, fol 51.

Des goûts et des couleurs

Conférences :

Blanc, histoire d’une couleur 

Les peintres et la couleur verte au fil des siècles 

Gris, couleur de l’ombre

Histoire et symbolique du bleu

Le rouge: une couleur dangereuse ?

Le livre d’or du corps humain Anatomie et symboles
La nature et ses symboles
Attributs et symboles dans l’art profane  Guy de Tervarent
aperçu–> ici

La signature dans le tableau aux XVIIe et XVIIIe siècles : identité, réputation et marché de l’art
Joris-Karl Huysmans  Les textes du critique d’art

La Perspective comme forme symbolique Erwin Panofsky
–>à lire aussi

Art et science des nuages au Siècle d’or hollandais Alexis Metzger

Paris, capitale de la toile à peindre  XVIIIe et XIX e siècle*    Pascal Labreuche