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Lettrine U Style celte

…d’après l’évangéliaire de Lindisfarne .

U Lindisfarne
format 12×13 papier aquarelle

« L’Enluminure insulaire désigne la production de manuscrits enluminés dans les monastères en Irlande et en Grande-Bretagne entre le  et le début du IXe siècle, ainsi que dans les monastères sous influence insulaire installés sur le continent.

Les types de motifs ornementaux

L’entrelacs est le motif le plus connu des ornements insulaires. Cette décoration n’est pourtant pas propre à l’art celte ni aux enluminures insulaires. Elle se retrouve dans certains papyrus égyptiens, des manuscrits byzantins et italiens, ainsi que dans certains œuvres d’art anglo-saxonne comme dans la tombe de Sutton Hoo. C’est tout de même dans ces manuscrits insulaires que cette décoration est utilisée, à partir du milieu du VIIe siècle de manière quasi-systématique. Cet ornement permet de remplir plusieurs types d’enluminure, aussi bien des lettrines, des cadres, des marges, des pages tapis. On peut distinguer différents types d’entrelacs : ils sont simples, doubles ou triples.

Parmi les motifs rectilignes, on peut distinguer les obliques, les damiers, les clés, ainsi que les grecques diagonales. Parmi les motifs curvilignes, se distinguent les cercles, les spirales, les enroulements tourbillonnant, ainsi que les motifs sphériques à la trompette.

Les motifs zoomorphes servent généralement de prolongement aux entrelacs : les têtes se trouvent à une extrémité et il faut parfois retrouver l’autre extrémité de l’entrelacs pour retrouver un arrière-train. Dans un premier temps, leur caractère reste très schématique et il est difficile de distinguer une espèce particulière. À partir des évangiles de Lindisfarne, certains types d’animaux commencent à apparaître avec plus de réalisme : des chiens, des rapaces, rappelant l’art de la chasse appréciée par les élites anglo-saxonnes. » source

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papier préparé, pointe d'argent, techniques anciennes

Papier préparé pour pointes de métal

Pour dessiner à la pointe de métal (argent, or, cuivre, étain, etc..) il est nécessaire d’apprêter le papier avec un enduit légèrement abrasif : cela va permettre de retenir les fines particules de métal.

Je choisis un papier aquarelle « grain satiné » d’un grammage de 300gr minimum que je monte sur châssis (ou sur un morceau de contreplaqué pour les petits formats) en suivant le même processus qu’ici .

Deux possibilités :  un enduit traditionnel  ou un enduit acrylique.

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